SANTE ENVIRONNEMENTALE, MEDICALE ET SOCIETALE
Une liste de la société civile pour les sénatoriales 2023
SANTÉ ENVIRONNEMENTALE, MÉDICALE ET SOCIÉTALE
SEMS
Une liste indépendante issue de la société civile
QUE SOUHAITONS NOUS ?
Une nouvelle manière d'envisager la politique
Nous sommes 6 professionnels de la société civile, réunis pour jeter un oeil neuf sur la scène politique, autour d'un projet novateur, harmonieux et concerté dans le sens de la santé globale. Dans nos rangs sont représentés diverses catégories d'âge, différents modes d'exercice professionnel mais tous fortement concernés par la santé déclinante de notre société.
Nous souhaitons promouvoir le rôle de la société civile dans la vie politique, loin des impératifs partisans, des services rendus, des arrangements et des renvois d'ascenseur.
Venez discuter en visioconférence avec nous. Connectez vous sur TEAMS de 17 à 19 h tous les soirs du 16 au 22 septembre :
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ID de la réunion : 369 293 595 532
Code secret : 5Jwu6F
PROFESSION DE FOI DE LA LISTE SEMS
Les élections sénatoriales représentent une occasion unique de choisir nos représentants au sein de la Chambre haute du Parlement. C'est une étape cruciale de notre démocratie, où nous élisons ceux qui défendront nos intérêts, porteront nos préoccupations et travailleront ardemment pour le progrès de notre région.
La Réunion, avec sa diversité culturelle, ses richesses naturelles et son potentiel économique, mérite d'être représentée par des femmes et des hommes compétents, intègres et dévoués. Nous avons besoin de sénateurs et sénatrices qui comprennent les enjeux spécifiques de notre territoire, qui sont conscients des défis auxquels nous sommes confrontés et qui sont prêts à œuvrer sans relâche pour notre développement harmonieux.
La liste « Santé Environnementale, Médicale et Sociétale (SEMS) » est une liste indépendante de tout parti politique, novatrice, constituée de personnalités de la société civile désirant s’engager dans une action collective pour servir les intérêts de la population de l’île de La Réunion et de la France. Elle défend le concept de santé globale pour répondre harmonieusement aux besoins d’une société en souffrance, malade d’un système de santé autrefois notre fierté mais qui répond de moins en moins aux besoins de la population. Malade d’une précarité croissante accélérée par l’inflation, malade d’un désintérêt de la population et en particuliers des jeunes pour la politique et les affaires de la cité. Malade des conséquences climatiques d’une croissance et d’une mondialisation non contrôlées. Médical, sociétal et environnemental sont interdépendants et indissociables ; ils doivent être traités conjointement.
Pour atteindre une santé globale, il est crucial d'adopter une approche intégrée. Cela signifie que nous devons tenir compte de tous les déterminants de la santé, qu'ils soient biologiques, sociaux, économiques ou environnementaux. Il ne suffit pas de se concentrer uniquement sur les soins médicaux, mais nous devons également promouvoir l'accès à l'eau potable, à l'assainissement, à une alimentation saine, à l'éducation, à la justice et à des conditions de vie décentes pour tous.
La santé globale implique une prise de conscience individuelle et des choix responsables. Chacun d'entre nous a un rôle à jouer pour promouvoir notre propre santé et contribuer à celle des autres. Adopter un mode de vie sain, se protéger contre les maladies, se faire vacciner, respecter l'environnement et soutenir les politiques de santé publique et de lutte contre la précarité sont autant d'actions qui peuvent avoir un impact significatif.
La liste « Santé Environnementale, Médicale et Sociétale (SEMS) » est constituée de professionnels reconnus, intègres et appréciés, d’âges et d’horizons variés comme l’hôpital, les associations, les finances, l'entreprise libérale, etc. Pour tous, cette élection sénatoriale est une première expérience politique. Nous souhaitons renforcer la présence et la visibilité du sénateur dans l’Île pour prendre en permanence le pouls de la communauté et relayer ses besoins au niveau national et européen. Pour cela nous nous appuierons sur nos nombreux réseaux de la société civile.
Notre objectif principal est de faire entendre la voix de La Réunion au Sénat et de défendre les intérêts de notre territoire avec force et conviction. Nous mettrons tout en œuvre pour soutenir les initiatives qui favorisent la création d'emplois durables, qui améliorent l'accès à une éducation de qualité pour tous, qui renforcent notre système de santé, qui facilitent l'accès au logement et qui préservent notre environnement unique. Nous serons vos porte-voix, vos défenseurs et alliés au sein du Sénat, en travaillant sans relâche pour défendre les intérêts de La Réunion.
Nous nous engageons à promouvoir une politique de développement équilibré et durable pour La Réunion. Nous sommes persuadés de notre potentiel économique, de notre capacité à innover et à créer des opportunités pour tous. Nous travaillerons en étroite collaboration avec les acteurs locaux, les entrepreneurs, les associations et les citoyens pour favoriser l'essor de nos secteurs clés, tels que le tourisme, l'agriculture, les énergies renouvelables et l'économie circulaire.
Nous sommes particulièrement soucieux de défendre les intérêts des femmes, tant dans la parentalité avec une révision des indemnisations des congés maternité et parentaux pour viser une véritable égalité homme-femme dans le monde du travail. Le sujet des violences faites aux femmes et aux enfants est un fait sensible dans notre région. D’autres problèmes locaux, comme la vie chère (+25% pour l’alimentaire à La Réunion versus la France continentale), les inégalités d’accès aux soins avec un déficit de blocs opératoires, de lits de soins de suite dans notre île, la gestion des déchets ou encore nationaux comme la réforme de notre système de santé qui va devenir incontournable, alimentent notre réflexion.
Ces élections sénatoriales sont une opportunité de choisir des représentants nouveaux et différents pour l'avenir de La Réunion. Nous vous invitons à étudier attentivement les propositions des candidats et candidates, à poser des questions, à exprimer vos préoccupations et à voter en toute conscience.
Nous vous remercions de votre confiance et de votre soutien. Ensemble, faisons de La Réunion un modèle de développement harmonieux et durable en promouvant la santé médicale, sociétale et environnementale.
QUI SOMMES NOUS ?
Je m’appelle Peter von THEOBALD
Je suis né le 24 septembre 1957 à Munich (RFA) et je vis en France depuis 1964. De Nationalité allemande, jusqu’en 1986, puis naturalisé français. J’ai élevé 5 enfants et j’ai 6 petits enfants. Je parle couramment l’anglais et l’allemand.
Ma scolarité et mes études ont eu lieu à Paris de 1975 à 1983 puis j’ai passé 27 ans en Normandie où je suis monté en grade au CHU de Caen depuis interne en gynécologie obstétrique jusqu’à praticien hospitalier - professeur des universités dans la même discipline, nommé en 1998.
Tombé amoureux de La Réunion lors de ma première venue pour un congrès en 1988, j’ai épousé une réunionnaise de St Joseph et j’habite l’Ile depuis 2010. Je suis venu pour participer activement à la construction du CHU et de la faculté de santé de La Réunion et j’ai été le premier professeur en médecine muté dès sa création en 2012. J’ai exercé les responsabilités de chef de service de la maternité du CHU site nord pendant 10 ans. J’ai été élu et réélu pendant 12 ans président du réseau de périnatalité de La Réunion (REPERE) qui est un outil essentiel pour les professionnels de la santé, pour les parents et futurs parents dans les soins et l’éducation des enfants. Je suis membre fondateur de l’UFR (Unité de Formation et de Recherche) de Santé. J’ai été élu président de la commission médicale d’établissement (CME) du CHU de La Réunion (2021) par les 1200 personnels médicaux du CHU et vice-président de la commission médicale du groupement de territoire (CMG) par les médecins des hôpitaux publics de l’ile en 2022.
Grâce à l’équipe locale très active et désireuse d’offrir aux réunionnais une médecine de qualité, j’ai pu développer et mettre aux normes internationales le service de maternité de l’hôpital Félix Guyon en y développant entre autres la prise en charge obstétricale moderne et la prise en charge de l’endométriose si fréquente et grave dans notre Ile. J’ai pu collaborer activement pour mettre en place le premier (en 2012), puis depuis cette année, le deuxième cycle des études médicales. Nous avons repris au CHU de Bordeaux la coordination de l’enseignement du 3ème cycle dans la plupart des spécialités. Pour ma part, je coordonne le Diplôme d’études spécialisées de Gynécologie Médicale.
Dans le cadre de la Démocratie Sanitaire, j’ai été élu vice-président de la Commission Spécialisée de l’Offre de Soins de la CRSA ainsi que membre de la Commission Nationale de l’offre de soins comme représentant de la conférence des présidents de CME de CHU.
Sur le plan universitaire, j’ai été élu par mes pairs en 2019 membre de la Commission Nationale des Universités.
Je travaille depuis 40 ans sans interruption pour l’hôpital public en tant que médecin, et plus précisément en tant que chirurgien, ayant au fil du temps développé et éprouvé des techniques de chirurgie modernes et moins invasives telles que la coelioscopie, la chirurgie par voie basse pour lesquelles je suis toujours une référence internationale, ce qui me conduit à enseigner dans de très nombreux pays du monde comme la plupart des pays d’Europe, aux Etats Unis, au Brésil, en Arabie Saoudite, en Iran, en Israël, au Liban, en Inde, en Afrique de l’Ouest et du Sud, en Australie et Nouvelle Zélande, en Thailande, à Taïwan, etc.
Mon moteur a toujours été de préserver la santé physique et psychique des femmes et des mères en étant à leur écoute. La condition de vie des femmes est un marqueur important de l’évolution de notre civilisation. Elle est fortement menacée non seulement par des violences physiques mais aussi par un manque d’écoute, de considération et de respect, particulièrement dans le cadre du travail et des maladies liées à la féminité que je prends en charge depuis 30 ans.
L’enseignement universitaire, que j’affectionne particulièrement, m’a poussé à militer dès la création de la faculté de santé pour l’ouverture de la totalité des études médicales à La Réunion. En effet, former nos enfants dans l’île est incontournable pour assurer une égalité des chances pour l’accès à ces études aux moins fortunés et créer un ascenseur social pays. Si au départ, un grand nombre de postes médicaux et paramédicaux ont été occupés par des métropolitains, le but doit être de donner la majorité des postes à des médecins réunionnais formés sur place.
Le domaine de la recherche en santé est encore trop peu développé dans l’ïle, J’ai occupé successivement les postes de Président de la Direction de la Recherche Clinique (DRCI) pendant 2 ans puis de Coordonnateur du Centre d’Investigation Clinique (CIC) du CHU de La Réunion ce qui a permis de booster cette activité et durant les 5 dernières années, le nombre de publications scientifiques produites dans le cadre de cette recherche au CHU a décuplé.
J’ai écrit moi-même 3 livres dont le dernier, consacré à l’endométriose, est un ouvrage de vulgarisation à destination du grand public.
QUI SOMMES NOUS ?
Reine Josie Desprairies est née le 16 avril 1966 à Saint-Joseph.
Elle est la 3ème d'une fratrie de 4 enfants. Elle grandit à Vincendo au sein d'une famille traditionnelle créole soudée par des valeurs de solidarité, d’honnêteté et un espoir de prospérité. Ses parents sont pauvres, son père est ouvrier agricole principalement coupeur de cannes, sa mère lorsqu’elle en a l’opportunité fait « des quinzaines communales » comme cantinière, agent hospitalier, femme de ménage à l’école du village…mais ils ont du mal à joindre les deux bouts.
Après l’obtention de son Baccalauréat, grâce à une petite bourse d’Etat, Reine Josie commence des études de sage-femme, une réelle vocation. Elle effectue sa 1ère année au CHD Félix Guyon, les suivantes à Paris au sein de l’AP-HP. Période de précarité où elle cumule les « petits boulots ». Son diplôme en poche elle exercer à Paris, à l’AP-HP durant un an puis rentre dans l’Île. Elle travaillera un an au sein de la PMI, puis deviendra sage-femme hospitalière à la maternité de Saint-Pierre, en salle d’accouchement. Par intermittence, elle remplace la sage-femme cadre de l’unité. En 1998 elle participe à la création de l’hôpital de jour de maternité, où elle exercera durant un an. L’année suivante elle fera fonction de cadre dans l’unité de grossesse à haut risque. Ce trajet l’amène à intégrer l’école de cadres sages-femmes au CHU de Dijon/Université de Bourgogne en 1999-2000. À son retour, son diplôme en main, elle est nommée cadre sage-femme mais exercera la fonction de cadre supérieur. Lourde tâche pour cette jeune femme, mère, à cette époque de deux jeunes enfants. Mais elle l’assume avec assurance et passion. Parallèlement, elle participe à la création du réseau périnatal sud Réunion dont elle sera présidente.
En 2003, avec ses enfants, elle rejoint son compagnon à Caen. Elle décide alors d’être cadre sage-femme au sein de l’école du CHU de Caen, fonction qu’elle remplira pleinement pendant 7ans. Dans l’intervalle, elle épouse son compagnon et devient mère d’une troisième enfant. La voilà en 2010, de retour, avec toute sa famille, à la Réunion. Elle est durant deux ans cadre sage-femme enseignante à l’école du CHU de la Réunion.
En 2013, elle décide d’explorer le seul mode d’exercice qu’elle connaît peu. Elle crée son cabinet de sage-femme libérale au Chaudron. Jusqu’à ce jour, elle s’y épanouit pleinement partageant son temps entre les consultations et les visites à domicile de femmes enceintes, de jeunes mères et de nouveau-nés. De la sorte, elle connaît parfaitement le tissu social de toutes les communautés de l’île, au sein même de leurs foyers. Elle continue d’étudier et obtiendra un diplôme universitaire de formateur à la simulation en santé ainsi qu’un diplôme universitaire de gynécologie médicale. Reine Josie a publié fin 2022 un livre intitulé « les mémoires d’une petite créole ». Les droits d’auteur sont entièrement reversés à la fondation ARSEP - qu’elle soutient depuis 17 ans - œuvrant pour la recherche contre la sclérose en plaques. Ce petit ouvrage est probablement ce qui décrit le mieux son histoire, son milieu, sa personnalité, et plus globalement, la Réunion et les réunionnais.
Qui sommes nous ?
Stéphanie Fontaine : Je m’appelle Stéphanie Fontaine j’ai 43 ans jeune maman d’une petite fille de 2 ans. Je réside à Saint Denis. Je suis salariée de la Poste depuis 23 ans où j’exerce le métier de Conseiller Financier depuis 10 ans. J’ai toujours été en périphérie du monde politique par le biais d’amis engagés et ayant brigué des mandats.
Aujourd’hui je me sens prête à mon tour pour m’engager et faire partie de cette liste afin de défendre des valeurs qui me sont chères. Notre candidat Monsieur Peter Von Theobald les porte bien en avant avec « Santé Médicale, Sociétale et Environnementale (SMSE) ». De plus, notre liste est indépendante de tout parti politique. J’admire notre candidat par son engagement envers notre communauté au quotidien. Oui c’est aujourd’hui qu’on doit prendre notre place dans le monde de la politique afin de transmettre à nos enfants des valeurs. J’ai aucune expérience sur la scène politique. Mais j’ai toujours œuvré dans plusieurs associations sportives. Je suis membre actif, encadrant et entraîneur des jeunes dans un Club d’athlétisme de Saint Denis « le CSSDA » depuis plus 30 ans. J’ai moi-même pratiqué depuis mon plus jeune âge. Aujourd’hui encore je chausse mes baskets pour faire briller les couleurs de mon club. Il est primordial de transmettre les valeurs aux générations futures, de donner de son temps. Aider Servir et Accompagner les jeunes. Selon moi, pour l’humain, le garant de vie c’est sa Santé et cela nécessite qu’on soit bien physiquement, dans un environnement sain, et dans une société ou le vivre ensemble prime sur tout.
Qui sommes nous ?
Vincent DIJOUX : né le 15 mai 1977 à Saint-Denis (Ile de la Réunion), Attaché d’Administration Hospitalière au CHU de la Réunion en charge de la gestion du personnel médical avec plus de 20 années d’expériences dans la Fonction Publique Hospitalière.
A l’issue de son service militaire à l’Etat Major des Forces Armées de l’Océan Indien (classes au 53ème BCS) et de ses études dans les écoles et la faculté de la capitale Dionysienne, sa formation comptable lui permet d’intégrer le poste de responsable de paye du Centre Hospitalier Inter-communal Saint-André/Saint-Benoit en 2000.
Au cours de ces 9 années passées auprès des professionnels de santé de l’Est de la Réunion, il a ainsi pu œuvrer au développement de l’hôpital public dans une zone alors particulièrement défavorisée en termes d’offre de soins. Ses expériences acquises dans le milieu syndical, notamment en qualité de conseiller Départemental à la CFTC Santé, lui ont permis de faire entendre la voix des hospitaliers pour garantir la sécurité des soins, la qualité de la prise en charge de la population et de meilleures conditions de travail.
En 2009 dans un contexte de constitution d’un Centre Hospitalier Régional, puis d’un Centre Hospitalier Universitaire, il rejoint l’encadrement de la Direction des Affaires Médicales du Centre Hospitalier Régional de la Réunion avec un enjeux d’harmonisation des pratiques entre le site NORD (Centre Hospitalier Félix Guyon – site de Saint-Denis) et les sites SUD (Groupe Hospitalier Sud Réunion – sites de Saint-Pierre, Saint-Louis, Saint-Joseph, Le Tampon, Cilaos).
Qui sommes nous ?
Marjorie Ivoule : Née le 24 septembre 1994, assistante à la Commission Médicale d’Etablissement
(CME) du CHU de La Réunion depuis un an.
Après l’obtention de son baccalauréat, elle décide d’intégrer la vie active en
poursuivant ses études en alternance pendant 3 ans au sein de la Région Réunion.
Elle travaille ensuite dans une petite entreprise dans le secteur du bâtiment et a dû
faire preuve de polyvalence étant la seule employée administrative.
Après 2 ans, elle décide de retrouver le service public et intègre l’Université de La
Réunion. Son professionnalisme lui permet d’être réfèrent de plusieurs dossiers
importants notamment ceux du personnel enseignant mais aussi de projets comme
la contractualisation pluriannuel ou encore les constructions immobilières.
Ses fonctions au sein de l’établissement d’enseignement prennent fin en 2022 pour
des raisons de restriction de masse salariale.
Elle rebondit de suite et rejoint ainsi le CHU de La Réunion où ses missions sont
similaires. Elle effectue également des missions transversales et s’occupe de la
Commission de Prospection Hospitalo-Universitaire et de la formation du personnel
médical.
En parallèle de son activité professionnelle, elle s’adonne depuis 2 ans au Crossfit,
un sport qui lui permet de s’intégrer sur le plan collectif et de se fixer de nouveaux
objectifs chaque jour.
Qui sommes nous ?
Stéphane FREMONT : né le 30 décembre 1978 à Saint Denis (Ile de la Réunion), Chirurgien Dentiste, diplômé de l’Université de Bordeaux.
Ayant grandi à Saint Denis, il fait ses classes sur les bancs de l'école élémentaire de Joinville, du collège Bourbon et du lycée Leconte de Lisle.
D'une famille de handballeurs du côté de sa maman, la maison de la mémé à deux pas du terrain, il commence le handball très jeune, suit les enseignements académiques du club de handball de Joinville, intègre le Pôle Espoirs Réunion en 1993, rejoint l’équipe jeunes du centre de formation des Girondins de Bordeaux pendant deux ans, puis intègre, pour la fin de ses études, l’équipe séniors du club de Pessac.
Après l’obtention de son doctorat, il rentre à la maison, ne se voyant exercer nulle part ailleurs que dans sa ville natale.
Au cours de ses années de pratique libérale, il ne cesse de continuer à se former, obtient plusieurs Diplômes Universitaires, notamment en Implantologie, en Dentisterie Pédiatrique, en Occlusodontie Fonctionnelle, ainsi qu'en Esthétique du Sourire qui représente aujourd’hui une grande partie de son exercice.
Il dirige à ce jour une structure où travaillent cinq praticiens, cinq assistantes et une assistante de direction.
Très investi sur le plan associatif depuis son retour, il est actuellement coach, membre du Conseil d’Administration de la Ligue Réunionnaise de Handball et Président de son club d’enfance de Joinville. Il a deux superbes filles, Gabrielle, 11 ans et Kim, 7 ans.
Qui sommes nous ?
Gabrielle Fontaine : née le 29 juin 1949 à Saint Pierre, elle habite Saint Denis depuis 1952. Elle a obtenu son Bac de Philo en 1967 et intégré la faculté de lettres de Saint Denis pour un DEUG de lettres modernes. Puis elle a abandonné cette formation pour l’école Normale pour devenir institutrice. Elle s’est mariée en 1969 et a eu 3 enfants et 8 petits enfants. De 1969 à 1989, elle a enseigné en primaire et en maternelle. Elle a été directrice d’école maternelle et a fini sa carrière en tant que conseillère pédagogique maternelle détachée à la mission académique de formation pour les personnels de l’éducation nationale. Elue à la mairie de Saint Denis sous le majorat d’Auguste Legros de 1983 à 1989, elle a exercé le mandat d’adjointe déléguée à la restauration scolaire puis a été élue conseillère générale du 6ème canton de Saint Denis. En 1989, elle devient 1ère adjointe de Gilbert Annette et prend sa retraite de l’éducation nationale. Elle exerce ce mandat jusqu’à sa démission en 1994. Elle se consacre alors à soigner sa belle-mère atteinte de la maladie d’Alzheimer et décédée en 1999. Ensuite son père a été diagnostiqué pour la même maladie et elle s’en occupe donc également ainsi que de sa mère qui ne peut gérer toute seule. C’est à partir de ce moment, après le décès de son père en 2010 qu’elle s’intéresse à l’association France Alzheimer Réunion dont elle prend les rênes en 2016, succédant à Suzelle Lebihan, démissionnaire. En 2019 elle quitte la présidence de l’association mais reste sa représentante des usagers au CHU site Félix Guyon, à la clinique de la paix à Saint Benoit et à l’ASFA. En 2014, elle rempile à la mairie de Saint Denis comme adjointe déléguée aux personnes âgées et à la santé. Elle poursuit ses activités associatives dans le cadre de la santé et dans l’enseignement privé catholique. Présidente de l’institut supérieur de formation de l’enseignement catholique, elle devient présidente de l’université catholique qui propose aux réunionnais une licence de psychologie, de sciences de l’éducation, un DU de neurosciences et d’autres à venir. Le bénévolat et le monde associatif font réellement partie de sa vie et elle a été récompensée par les palmes académiques.